emotionnel

Publié le 23 Mai 2022

Beaucoup de souffrance et de malheurs surviennent lorsque vous prenez chaque pensée qui vient dans votre tête pour la vérité.

Eckhart Tolle

Bonjour à tous,

L'impact de nos croyances limitantes sur notre vie est grande. Toutes les actions, les réactions et les attitudes sont d'abord dictées par nos croyances qui sont des filtres entre le monde réel et soi. Connaître et repérer nos propres croyances limitantes négatives, celles qui nous tirent vers le bas, est essentiel à une vie épanouissante.

C'est quoi une croyance limitante ?

C'est une vue de l'esprit qui nous fait croire que l'on est incapable de faire certaines choses. Elle nous vient le plus souvent de l'éducation de nos parents, nos professeurs, nos relations, nos collègues ou de notre vécu et des expériences passées, et en particulier de nos échecs. Sur la durée, cette croyance s’amplifie, se cristallise et s'incruste.

Nous avons tous des pensées, des croyances limitantes qui nous bloquent et nous empêchent d'avancer facilement et rapidement dans notre vie et notre parcours personnel. Ce sont des choses que l'on croit, que l'on tient pour vrai et qui nous limitent.

Si votre croyance est négative ou limitante, vous vous sabotez vous-même, même si vous le faites d'une façon inconsciente. Mais le résultat est le même, vous restez dans le négatif et l'échec.

La PNL (programmation neurolinguistique) distingue trois catégories de croyances limitantes : 

- Le désespoir : on est convaincu qu'on ne pourra pas atteindre un objectif particulier. "Quoi que je fasse, ça ne changera rien".

- L'impuissance : on ne pense pas être capable d'atteindre notre objectif. "J'en suis incapable".

- La dévalorisation : on ne pense pas être légitime/ne pas mériter de réussir. "Je ne mérite pas".

Exemple de croyances limitantes :

Croyance sur soi-même : c'est toujours à moi que ça arrive ; je n'y arriverai jamais ; je suis trop timide...

Croyance sur la vie : la vie est un enfer ; la vie est dure ; je n'ai pas le droit à l'échec...

Croyance en amour : personne ne m'aime ; les hommes sont tous des brutes et des infidèles ; les femmes sont toutes jalouses et possessives ; pour être aimé, il faut faire plaisir aux autres...

Croyances sur le travail : il faut travailler dur pour réussir ; je suis trop vieux pour apprendre quoi que ce soit ; le changement représente un danger...

Croyance sur l'argent : l'argent ne fait pas le bonheur ; les gens riches sont malhonnêtes ; si je gagne beaucoup d'argent, je n'aurai plus d'amis sincères...

Comment s'en défaire ?

- Comprendre ce qu'est une croyance limitante.

- Identifiez vos propres croyances limitantes et prenez en conscience : vous faites cela de façon automatique, par habitude. Pour changer ses habitudes, déjà faut-il en avoir conscience.

- Listez les : écrivez sur un papier ce que vous croyez (sur les hommes, sur les femmes, sur le mariage, sur votre activité...). Référez vous à vos "toujours" ou à vos "jamais", "à chaque fois" : du genre "je ne réussirai jamais rien dans la vie" ou encore "je serai toujours pauvre", "à chaque fois, je me plante..." etc. 

- Faites le tri et identifiez celle qui vous coûte, celle qui vous plombe et qui vous emmène à l'opposé de ce que vous voulez vraiment. Certaines de ces croyances vous poussent en avant comme "Je suis capable de tout faire".

- Remettre ses propres croyances en question : ai-je une raison de croire ceci ou cela ?, ou cela vient il de mes parents et de leurs propres peurs et croyances limitantes ?

- Reconnaissez un fait qui contredit cette croyance.

- Remplacez les par des croyances contraires : pour chaque croyance limitante, imaginez une affirmation contraire, qui ne soit ni limitante ou négative et qui fera office de croyance ressource.

- Employez la croyance ressource au quotidien et en conscience : dès que vous vous surprenez à avoir une pensée limitante : switchez ! passez à la croyance ressource contraire.

- Concentrez vous sur une croyance à la fois : l'argent, les hommes, les femmes, les relations sociales, l'estime de soi... Choisissez celle qui vous "plombe" le plus.

- Relisez ce que vous avez listé (matin et/ou le soir) afin de reprogrammer le cerveau et les connexions neuronales à l'aide des affirmations positives dites à voix haute (croyance ressource).

- Énoncer ce qui vous comble le plus dans la vie : Je me sens comblée quand...

- Soyez ouverts aux avis extérieurs : afin de déceler plus facilement vos propres croyances limitantes.

- Pour avancer sur votre chemin personnel, demandez vous quel bénéfice vous avez à rester dans vos croyances limitantes. Même derrière la plus néfaste des croyances se cache un bénéfice que vous êtes le seul à savoir. Si vous vous dites "Je suis nul", quel est le bénéfice ? Vous pouvez vite vous cacher derrière cette croyance et peut-être ne prendre aucun risque afin de ne pas vous exposer aux regards ni aux jugements des autres et ainsi continuer à jouer cette pseudo sécurité.

Dernière étape : 

- Passer à l'action : en ayant cette nouvelle croyance que vous pouvez modifier vos pensées, quelle action, même minime, pouvez vous faire maintenant ? 

En résumé : 

Il est important d'identifier ces propres croyances limitantes et de les lister pour bien faire une différence entre ce qui vous pousse en avant et ce qui vous limite. Par exemple, si vous vous dites que vous êtes capables de tout faire, ne la prenez pas comme une croyance limitante.

Chacun hérite de croyances familiales que l'on se doit de remettrent en question. 

Une croyance est une prophétie auto-réalisatrice : vous alignerez vos actes et vos attitudes sur votre croyance pour que la réalité soit en conformité avec votre croyance.

Une croyance peut être un atout considérable ou une arme de destruction. Limitez et supprimez toute croyance négative et limitante. Créer et entretenez des croyances positives et ressourçantes. 

On peut choisir en pleine-conscience de se libérer de nos croyances limitantes. Le vrai changement est une étape dont la première se passe dans la tête et la deuxième dans une action, c'est à dire redescendre cette nouvelle croyance dans une réalité.

Plus vous posez d'actions plus vous aurez de résultats.

 

Bien à vous...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 3 Février 2022

Bonjour à tous,

De tous temps, les personnes préoccupées par le devenir de l'humanité ont su reconnaître l'importance de l'intelligence émotionnelle. Tous les pacifistes se sont intéressés aux outils de développement de la maturité émotionnelle et de la conscience (le-conscient-et-le-non-conscient).

Développer son Intelligence émotionnelle signifie développer ses compétences personnelles (la conscience de soi, la gestion de soi), ses compétences sociales (conscience des autres, la gestion des relations), ainsi que le quotient émotionnel.

La conscience de soi  passe par l'aptitude à exprimer et à décoder ses propres émotions et leur impact, la gestion de soi par la maîtrise des émotions déstabilisantes, l'adaptabilité ou l'optimisme.

La compétence sociale est la capacité de ressentir les émotions des autres (empathie), à reconnaître et à répondre à leurs besoins, en motivant, inspirant, en accompagnant sans manipulation et en ayant une vraie capacité à gérer les changements et les conflits.

Le quotient émotionnel  fait appel principalement au cerveau droit, siège des émotions et de l'intuition, alors que l'intelligence, au sens où nous l'entendons, fait référence au cerveau gauche, qui gouverne le sens de l'analyse, la pensée et la rationalité. Même si l'on sait que pour faire des études supérieures, un étudiant doit avoir un QI supérieur à 110, cela n'est pas pour autant un gage de réussite. L'intelligence au sens employé couramment, n'a donc aucun intérêt lorsque les émotions prennent le dessus. Les fleurs de Bach constituent un outil qui peut être mis au service de l'intelligence émotionnelle.

Selon Daniel Goleman, l'intelligence émotionnelle se définit à travers cinq grands principes :

- La connaissance de soi : l'aptitude à identifier et reconnaître ses emotions-et-sentiments est la clé de l'intelligence émotionnelle.

- La maîtrise de ses émotions : la capacité à maîtriser ses émotions et à adapter ses sentiments à chaque situation.

- L’auto-motivation : le fait d'être capable de remettre à plus tard la satisfaction de ses désirs et de réprimer ses pulsions est la base de tout accomplissement. C'est ce que Goleman appelle l'état de fluidité psychologique.

- La perception des émotions d'autrui : l'empathie constitue l'élément fondamental de l'intelligence émotionnelle.

- La maîtrise des relations humaines : la capacité à entretenir de bonnes relations avec les autres est en grande partie, savoir gérer ses émotions.

Pour différentes raisons, 90% des individus sont incultes au regard de ces cinq grands principes. La capacité à reconnaître ses émotions (base de l'intelligence émotionnelle) n'est enseignée, ni à l'école ni dans les familles car les parents eux-mêmes sont souvent ignorants de ces subtilités. Nommer ses émotions permet de prendre de la distance par rapport à elles.

Les individus se répartissent en trois catégories selon leur rapport avec les émotions : 

- Ceux qui ont conscience d'eux-mêmes et savent maîtriser et ajuster leurs émotions.

- Ceux qui se laissent submerger par leurs émotions et perdent leur distance.

- Ceux qui acceptent leurs dispositions d'esprit sans réagir : avec le sourire pour les optimistes, avec une tendance dépressive pour les pessimistes.

La maîtrise de soi est tenue pour une vertu depuis Platon. C'est la capacité de résister aux tempêtes intérieures déclenchées par les coups du sort au lieu d'être "l'esclave de ses passions". Le but étant l'équilibre et non l'extinction des émotions. Ce qui est désirable, c'est une émotion appropriée, un sentiment proportionné aux circonstances.

L'intelligence émotionnelle appliquée : 

Les hommes et les femmes ne sont pas égaux face aux émotions. Les filles apprenant plus tôt à manier le langage parlé, savent mieux exprimer leurs sentiments et sont plus habiles à analyser leur réactions émotionnelles. Quand un garçon se fait mal dans la cour de récré, ses camarades attendent de lui qu'il quitte le jeu pour que la partie puisse continuer. Chez les filles, le jeu s'arrête et toutes vont se rassembler pour venir en aide à celle qui pleure. A l'âge adulte, les hommes et les femmes abordent une conversation avec des attentes différentes : les hommes centrés sur le "fond", les femmes privilégiant la relation émotionnelle. "J'ai envie de faire des tas de trucs avec elle et elle, elle veut parler !".

Concrètement, afin qu'une discussion - et à terme qu'une relation (le-couple) - ne dégénère pas, il faut s'en tenir au sujet de la discussion, faire preuve d'empathie et réduire la tension. La plupart du temps, lorsqu'une personne en colère sent que son point de vue a été entendu et ses sentiments compris, elle se calme.

Quand l'intelligence émotionnelle manque : 

Dès qu'un individu agressif perçoit une menace, il passe à l'acte sans réfléchir car il pose comme postulat que les autres sont hostiles et menaçants. Le problème est que, plus il se comporte ainsi et plus cela devient automatique. Son répertoire de réactions alternatives (humour, politesse...) s'appauvrit : son intelligence émotionnelle se limite à son agressivité. La colère (emotions-et-sentiments) est une réaction secondaire : derrière elle, se cache de la peur, de la jalousie, une vexation, etc. Nous avons toujours le choix de réagir à une émotion et plus nous en connaissons, plus nous pratiquons, plus notre vie s'enrichit et moins la colère s'invite.

Dans un autre registre, les troubles alimentaires sont souvent liés à une carence émotionnelle. L'individu est incapable de faire la différence entre les divers sentiments de colère, de peur, d'ennui, etc., et la faim... Ce qui conduit à la sur-alimentation dès qu'une contrariété arrive. Pour venir à bout de ce désordre affectif, la personne se rabat sur la nourriture (la-descente-alimentaire).

En résumé :

Daniel Goleman a appliqué le concept d'intelligence émotionnelle au monde de l'entreprise en mettant l'accent sur la composante émotionnelle en entreprise, et expliquait que comprendre nos émotions et celles des autres, reconnaître leur importance, est la ressource clé d'un nouveau modèle du "savoir diriger" qu'il appelle le leadership de résonance. La mission première du Leadership à travers ce concept est de mener les émotions collectives dans une direction positive, et de dissiper le brouillard créé par des émotions dites "toxiques". On aura compris que cette notion dépasse largement le monde de l'entreprise.

Développer son intelligence émotionnelle, c'est raffermir son caractère, garder la maîtrise de soi, se motiver, se gouverner.

La découverte des liens entre les émotions et l'état de santé signifie que la pratique médicale, qui s'attache à combattre les maladies graves ou chroniques tout en négligeant les sentiments du patient, n'est plus adaptée à la réalité.

La méthode simple et naturelle des fleurs-de-bach permet de surmonter les perturbations liées aux différents états émotionnels, d'harmoniser les émotions et de favoriser l'épanouissement de la personnalité.

 

Bien à vous...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 17 Janvier 2022

La folie, c'est de faire tout le temps la même chose et de s'attendre à un résultat différent

Albert Einstein

Bonjour à tous,

Comment trouver la force de passer à l'action ? Lorsque l'on se pose cette question, c'est que l'on a conscience que des choses doivent être mises en place dans notre vie. Une action doit être faite mais voilà, il y a un blocage, vous n'osez pas, bref vous avez peur ou vous vous cachez derrière de faux prétextes.

Ça veut dire quoi, passer à l'action ?

Passer à l'action implique de faire des choses nouvelles et des choses en cohérence avec vos aspirations, ce qui implique forcément une dose de peur. Il est plus facile de ne rien faire que de passer à l'action. Vous pouvez créer votre processus, votre méthode afin de modifier cela. Soit vous attendez que la vie le fasse pour vous, soit vous provoquez le changement que vous désirez obtenir.

La peur est légitime et fait partie du processus de changement. Il est normal d'avoir peur de passer à l'action. Regardez là, acceptez là et dépassez là. Comment ? En passant à l'action. C'est " un mal pour un bien". Cela augmentera également la confiance et l'estime de soi.

Pourquoi passer à l'action ?

La réponse est simple : pour espérer pouvoir atteindre vos objectifs ou encore mieux, dépasser ses objectifs et arriver à un résultat que vous n'auriez même pas osé envisager ou imaginer. Car sans action, pas de résultats. Et puis, l'inaction finira par vous peser dans le futur et diminuera votre confiance en vous.

Comment réussir à passer à l'action ?

Vous avez une envie, des projets, des rêves et vous savez ce que vous voulez pour votre quotidien, cependant vous n'arrivez pas à agir. Alors comment expliquer cette incapacité d'agir et comment y remédier. Voici quelques pistes.

- Saisissez les opportunités qui se présentent à vous. Vous risqueriez de regretter les opportunités que vous n'avez pas osé saisir au moment où elles se sont présentées par peur du changement. Tout changement engendre une action de votre part. Plus l'opportunité est grande, plus long sera le temps pour vous en remettre. Vous vous direz : et si seulement et si j'avais su... Il est vrai que quelquefois, il faut un certain temps pour s'adapter au changement. La question à vous poser est : préférez vous vivre une période un peu difficile ou pas de période du tout ?

- Mesurer ce que ça vous coûte : en argent, en estime personnelle, en confiance en soi, en terme relationnel, dans votre entreprise, etc. En vous projetant dans le futur, en imaginant que vous n'avez pas trouvé la force de passer à l'action, imaginez votre vie dans cinq ou dix ans si vous ne mettez pas en place certaines actions du moment par peur. Souvent cette mesure et cette projection permettent de trouver la force de bouger.

Demandez vous pourquoi vous voulez bouger ? Pour avoir un but, des objectifs, une meilleure version de vous-même ? Si vous ne savez pas répondre, c'est peut-être la réponse au fait que vous n'arrivez pas à passer à l'action. Si vous n'y trouvez aucun bénéfice, aucune utilité, si cela n'est pas intéressant pour vous, arrêtez de vous forcer à vouloir poser des actions qui ne sont pas forcément les bonnes pour vous. Soyez honnête avec vous-même.

- L'action nourrit l'action. Moins on en fait, moins on a envie d'en faire. Le manque de confiance en soi est un frein certes, mais également un bon prétexte pour ne pas entreprendre une action. Pourtant cette confiance en soi augmentera au fur et à mesure des actions menées. Ne faites pas non plus n'importe quoi, histoire d'être toujours en action. Faites des actions justes et alignées avec qui vous êtes et vous vous sentirez nourris.

- La peur de l’échec. D'abord, chaque échec nous rapproche un peu plus de la réussite. Ensuite, il n'existe que dans notre mental et le jugement que l'on porte à soi-même. Il n'y a donc aucun échec mais des expériences afin d'en tirer un enseignement. N'attendez pas non plus que la peur s'en aille car elle sera toujours là et c'est normal. Elle n'a toutefois pas les capacités de vous barrer la route à moins de lui donner ce pouvoir. Elle fait juste partie du chemin. Si vous allez au-delà de vos peurs qui vous bloquent, si vous sortez de votre zone-de-confort, vous avancerez et serez fière de votre parcours. 

- Ne vous attachez pas au résultat. Une action n'amène pas forcément à l'objectif souhaité et mentalisé. Passez à l'action sans aucune attente et avec un détachement. Vous pourriez même être surpris du résultat inattendu de l'action menée. N'attendez pas la perfection, faites juste de votre mieux (un des quatre accords toltèques).

- Ne vous cachez pas derrière de faux prétextes. Le manque d'estime et la confiance-en-soi, le manque de temps, le fait de ne pas savoir par où commencer, de remettre à plus tard, l'avis des autres... 

- Clarifiez vos objectifs afin de mettre une action en place (si minime soit-elle). Si l'objectif est trop important, établissez des sous-catégories d'objectifs facilement réalisables sous forme d'étapes. Sinon, la procrastination arrive et le découragement aussi.

- Alternez les périodes d'action avec les périodes de détente. Rendez le tout le plus agréable possible.

- Décidez de passer à l'action. Le pouvoir de décision peut se faire en moins de cinq secondes, avant que le mental ne revienne et que les-croyances-limitantes ne reprennent le dessus.

- Engagez toujours un premier pas simple et facile à mettre en œuvre. Cela vous aidera pour les actions futures.

Rappelez vous que la réussite passe par l'action. Tout passe par l'expérience et le savoir n'est rien s'il n'est pas expérimenté. 

En résumé : 

Il y a trois catégories de types de personnes. Celles qui suivent la route qu'on leur enseigne sans se poser de questions, que l'on peut qualifier de personnes "hors jeu". Celles qui ont une ouverture et une prise de conscience mais qui cependant ne font rien, que l'on qualifie de "spectateurs". Et celles qui prennent leur vie en main, qui passent à l'action et obtiennent des résultats, qui sont les "acteurs" de leur vie.

L'action peut être considérée comme une prise de risque et une sortie de sa zone de confort. La peur de passer à l'action est légitime. Ne la laissez pas vous barrer la route, elle fait partie de votre chemin et rappelez vous que si vous faites des actions sans avoir peur, c'est que vous jouez trop petit ! Votre succès se cache derrière vos peurs. 

On passe facilement à l'action pour les choses qui sont vraiment importantes pour nous.

L'action, si petite soit-elle, est incontournable si on veut être acteur de sa vie. Dans quelle catégorie vous situez vous ?

 

Bien à vous...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel, #boîte à outils

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Publié le 16 Janvier 2022

Bonjour à tous,

En regardant le fil d'actualité de mon Facebook il y a déjà quelques temps, je suis tombée sur une pub pour une crème beauté qui a attiré mon attention car son fabricant l'a nommée "La crème régénérante 528 Hz". Quand on connaît mon intérêt pour les frequences, constaté qu'une personne a pensé à associer une crème pour le visage avec une fréquence de guérison, ça m'interpelle. Mais ce n'est pas tout !

Cette crème a été conçu et fabriqué par un certain "Miro" avec uniquement des produits de qualités naturels et biologiques tels que : de l'argent ionique (fait maison), de la noix de coco pressée à froid (bien sûr), du beurre de karité (non raffiné), de l'huile d'olive ozonée, de l'iode, de la cire d'abeille, des huiles essentielles... Enfin bref, son processus de fabrication unique et original expliquerait sa grande efficacité. 

Il a quand même pensé à faire le lien pour associer dans sa crème à la fois la frequence 528 Hz qui est la fréquence de l'amour et qui répare l'ADN endommagé (oui c'est vrai!). Il cite également les travaux de Masaru Emoto - travaux sur l'eau que l'on a vu à l'école de naturo - mais aussi les 5 éléments de l'univers (feu, air, éther, terre, eau). La terre correspondant aux plantes des huiles essentielles, le feu à la cire d'abeille, l'eau à l'argent ionique, l'air à l'ozone et l'éther pour la fréquence 528 Hz. Ce n'est pas tout car le lien est fait avec les mathématiques de Pythagore : 528 correspond au chiffre 6 (la-numerologie) et dit-il le symbole 6 reflète la spirale descendante du ciel dans la totalité de la terre. C'est si joliment dit qu'on a plus envie d'aller vérifier l'info puisqu'on est déjà conquis.

Alors, je ne sais pas si cette crème est efficace car je ne l'ai pas (encore) testée faisant mes propres préparations aux huiles essentielles mais ça me tenterait bien d'essayer. Elle convient à tous les types de peau, aux hommes, aux femmes, il y a même une crème pour les enfants, accélérerait grandement la cicatrisation, peut être utilisée sur tout le corps. Tout ça pour la somme de 37€. Pas si cher, au vu des crèmes commercialisées et faites à base de pétrole...

 J'allais oublier, sur chaque pot il y a une fleur de vie (onde de forme : la-coquille-saint-jacques) pour finir en grande classe !

En tout cas, je dis bravo ! j'aurais aimé avoir l'idée.

 

Bien à vous ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #partage, #Emotionnel

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Publié le 15 Janvier 2022

Bonjour à tous,

On peut définir la créativité comme la capacité d'un individu à créer, imaginer, inventer et réaliser quelque chose. La capacité de découvrir, inventer une solution nouvelle, originale et efficace face à un problème donné.

La créativité se manifeste tous les jours et sous des formes bien différentes : personnelle, professionnelle, artistique...

C'est quoi la créativité ?

C'est un phénomène dont on parle couramment sans précisément savoir de quoi il découle. C'est également un phénomène qui pour certains relève du sacré. C'est quelque chose de conscient mais indéfinissable, de simple et de complexe à la fois.

C'est avant tout sortir de sa zone de confort et dépasser ses croyances limitantes qui viennent de l'éducation parentale et sociétale. Le créatif pense par lui-même en toute occasion. Il peut subir le stress par exemple et se laisser envahir ou envisager la situation sous un autre angle. Le créatif est curieux, original, inspiré, imaginatif et n'hésite pas à sortir du cadre - ce qu'on appelle la pensée divergente - en prenant des risques et en regardant les choses différemment.

Qui peut être créatif ?

Potentiellement, tout le monde car elle n'a rien à voir avec l'intelligence. La créativité dans l'art se traduit par une multitude de langages exprimant les pensées des artistes, ce qui explique pourquoi l'art est parfois si difficile d'accès pour les non initiés.

La démarche créative regroupe un ensemble de processus cognitifs. Elle est constituée de plusieurs critères :

- La sensibilité au monde, développée naturellement dans toutes les activités d'éveil, de l'enfance à l'âge adulte.

- La fluidité et mobilité de la pensée : faire évoluer sa pensée de façon consciente en fonction de l'évolution de l'environnement, de la société et des situations vécues.

- L'originalité personnelle : la capacité à se différencier des autres, l'originalité personnelle fait partie de la créativité tout en étant un facteur qui permet de la développer.

- L'aptitude à transmettre les choses : voir dans un concept tout ce qui peut être exploitable, modulable, transformable est une habilité.

- L'esprit d'analyse et de synthèse : études des textes et d’œuvres, production orale ou écrite etc.

- La capacité d'organisation : la rigueur, capacité de raisonner avec logique...

Comment la développer ?

- Laisser son esprit vagabonder facilite le processus de l'incubation créative. Les meilleures idées sortent souvent de nulle part, quand l'esprit est ailleurs. Bien que rêvasser semble être un acte irréfléchi, cela nécessite en fait, une grande activité du cerveau entraînant des connexions et des idées soudaines étant liée à la capacité à retenir une information en période de distraction. Les neurosciences ont découvert que rêvasser implique les mêmes processus cognitifs que ceux associés à l'imagination et à la créativité.

- Observer tout ce qui vous entoure. Voir toutes les possibilités partout et recueillir des informations, éventuellement les noter sur un petit carnet.

- Travailler aux heures qui vous arrangent, très tôt le matin ou tard le soir. Les individus très créatifs trouvent à quelle heure leur esprit se met en route et organisent leurs journées en fonction de cela.

- Prendre le temps d'être seul. Pour être ouvert à la créativité, il faut dépasser la peur d'être seul pour un usage constructif.

- Contourner les obstacles de la vie. Les chansons emblématiques sont souvent inspirées par des douleurs et des chagrins. Leurs auteurs ont été capables d'utiliser cela comme un moteur en imaginant des perspectives différentes de la réalité.

- Rechercher de nouvelles expériences ou sensations et nouveaux états d'esprits. L'ouverture à l'expérience est toujours un indicateur de la réalisation créative.

En résumé : 

Vous êtes capables de créer ce que vous seul avez imaginé dans votre tête. Les activités créatives sont relaxantes et thérapeutiques - cuisine, couture, ébénisterie, photographie, écriture, arts, etc. Peu importe ce qui stimule votre imagination, le temps est venu de créer et d'inspirer les autres.

Le ventre est le centre des émotions et de la créativité, l'idée qui sort du mental et qui passe le filtre de la personnalité. Cette idée vous est propre et n'a été émise par aucune autre personne. Ceci peut se faire dans tous les domaines et tous les métiers : il suffit de se connecter à ce qui vous anime et vous fait vibrer. Utilisez vos talents. Suivez des cours et faites ce qui vous passionne. Ce talent correspond aux attentes et aux besoins d'autres personnes et qui grâce à la perception de votre talent vont se nourrir, changer et évoluer. Se produira alors la magie de l'Univers : l'abondance. Cela commencera par de la gratitude envers vous puis vous recevrez de l'amour et enfin vous aurez un jour l'occasion de gagner votre vie grâce à votre créativité sincère et recevrez l'abondance financière que vous méritez. Créez l'emploi qui vous passionne !

Récitez ce mantra : "Je suis inspiré à être créatif."

 

Bien à vous...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 14 Janvier 2022

Bonjour à tous,

Un des premiers livres dont il faut avoir connaissance est celui des 5 blessures de l'âme de Lise Bourbeau. Elle y explique que l'on a tous 5 blessures profondément ancrées en nous, dans notre subconscient, lors de l'enfance, et qu'elles nous accompagnent depuis. Elles sont transmises par nos parents, qui ont eux-mêmes été blessés dans leur enfance. Elles jouent un rôle majeur dans notre vie puisqu'elles conditionnent nos rapports aux autres, notre comportement, nos pensées et nos émotions.

Ces blessures ont un ordre chronologique : 

La 1re, de la conception à un an correspond à la blessure du rejet, entre 1 et 3 ans celle de l'abandon et de l'humiliation, entre 2 et 4 ans celle de la trahison et enfin entre 3 et 5 ans celle de l’injustice. A chaque blessure correspond un masque et un comportement.

Les blessures              Masques                   Réaction en fonction des blessures

- Le rejet                    - Fuyant               le fuyant croit qu'on le rejette

- L'abandon               - Dépendant        le dépendant a peur d'être abandonné.

- L'humiliation           - Masochiste        le masochiste pense qu'on a honte de lui.

- La trahison              - Contrôlant         le contrôlant voit l'autre comme irresponsable.

- L'injustice                - Rigidité             le rigide trouve injuste ce qu'on lui fait, il ne mérite pas ça.

Un exemple avec la blessure du rejet (masque fuyant) qui arrive de la conception à un an. Souvent provoqué par le parent du même sexe (s'il s'est senti rejeté par le parent du même sexe = il se rejette, s'il s'est senti rejeté par le parent du sexe opposé= il rejette les autres) qui ne permet pas à l’enfant de vivre ce qu'il veut et d'être comme il veut être. Par ex, une mère qui veut un garçon et qui finalement a une fille = sentiment de rejet avant la naissance.

Vie sociale et comportement : Le fuyant souffre de rejet. Il fuit par peur d'être rejeté, connait des problèmes d'existence dans sa vie car il a peu d'estime de lui même, se considère comme nul et sans valeur, il se sent coupé et incompris des autres et pense même que s'il n'existait pas cela ne ferait pas une grande différence. Il parle généralement peu et n’adhère pas à un groupe facilement. N’accorde aucune importance aux choses matérielles. S'habille de couleurs ternes pour ne pas être remarqué. Peut se réfugier dans l'alcool ou la drogue ou bien encore devenir anorexique etc. Sa plus grande peur : la panique.

Pourquoi identifier nos blessures ?

D'après Lise Bourbeau, à chaque fois que l'on a un problème quelconque, que ce soit dans la vie personnelle ou professionnelle, dans la relation de couple, problème d'argent, confiance en soi etc. Quel que soit le problème, on peut le relier à une de ces blessures. D'en avoir conscience permet d'aller plus loin, de régler le problème plus facilement et nous aide à entamer un travail de guérison. L'ego n'est pas indifférent dans l'histoire puisqu'il est le plus grand obstacle à notre bonheur et à notre qualité de vie. C'est une création mentale qui nous éloigne de ce que l'on veut vraiment. Il suffit donc de s'en faire un allié et non combattre cette petite voix qui nous dit : c'est pas bien !

Le jeu des cinq blessures :

Ce jeu de cartes est un complément aux livres qui empêchent d'être soi-même et la guérison des 5 blessures. Il a pour objectif principal d'aider à mettre en pratique les suggestions de Lise Bourbeau pour accélérer le processus de guérison des blessures. 

Ces cartes ont été créées pour aider à devenir plus conscient des blessures et surtout à apprendre comment les guérir peu à peu. Ce n'est qu'en vivant des expériences différentes que nous pouvons savoir que des transformations sont en train de se produire.

Ce jeu comporte onze cartes pour chacune des cinq blessures. On différencie les cinq blessures par la couleur pastelle des cartes au recto et au verso est inscrit un texte assez court où il est indiqué : JE DÉCIDE sur chaque carte, car ces deux petits mots ont un grand pouvoir de manifestation. Chaque carte contient aussi un rappel du moyen le plus efficace pour la guérison, qui est l'acceptation. Plus vous acceptez le fait que vous n'êtes pas votre ego, mais un humain avec des limites, des peurs et des blessures, plus ces blessures ont la possibilité de guérir rapidement.

Comment utiliser le jeu ?

Le matin, mélanger 3 fois le jeu puis tirer une carte au sort. Gardez cette carte bien en vue toute la journée (dans votre sac si vous devez sortir) afin de pouvoir la relire quelques fois au cours de la journée pour mettre en application la décision du jour en fermant les yeux afin de mieux se centrer. Il est possible d'avoir du mal à mettre la décision en application mais peu importe. 

La carte choisie est toujours la bonne même si vous croyez ne pas avoir la blessure indiquée sur la carte. 

Nous souffrons tous d'au moins quatre blessures à des degrés différents, il est donc conseillé d'accepter de ne pas avoir choisi cette carte par hasard et de prendre la décision de faire ce qui y est inscrit.

Si vous ne vous reconnaissez pas du tout dans le genre de situation décrite sur la carte, assurez-vous de ne pas être dans le déni. C'est souvent le cas lorsque la blessure de rejet est activée.

Pour plus de résultats, vous pouvez noter dans un journal les résultats de la journée. Ça aidera à vérifier le progrès accompli lorsque vous choisirez à nouveau cette même carte.

Enfin, il est rappelé dans ce jeu l'importance accordée au fait de t'autoriser à ne pas être capable de faire ce qui est suggéré sur la carte. Vous acceptez véritablement d'être ce que vous ne voulez pas seulement si vous pouvez sentir de la compassion pour la partie en vous qui souffre et qui a de la difficulté. C'est le seul moyen pour qu'il y est une transformation possible et donc une guérison.

En résumé :

Nous souffrons tous d'au moins quatre blessures à des degrés différents. Une cependant, nous a marqué plus que les autres. L'objectif ultime est de nous libérer de cette emprise afin d'être nous-même. Il est important de savoir que la personne blessée se cache derrière un masque pour éviter de souffrir et qu'elle n'est pas consciente du masque qu'elle prend. Restons positif, il y a une guérison pour chaque blessure ! 

Le jeu est un outil concret pour travailler sur nos blessures au quotidien.

S'il est important de lire et notamment les livres de Lise Bourbeau au sujet de nos blessures, il est tout aussi important d'avoir des outils concrets pour passer à l'action à la suite de nos prises de conscience pour qu'il puisse y avoir une transformation.

"Le savoir ne dispense pas d'agir car la pensée est sœur de l'action."

L'utilisateur peut chaque jour tirer au sort une des cartes et mettre en pratique la suggestion.

 

Bien à vous...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 13 Janvier 2022

Bonjour à tous, 

Les termes tels que HP, HPI, HPE, ou encore HPIH sont régulièrement employés sans savoir exactement de quoi il retourne. L'abréviation de "HP" signifie "haut potentiel", que certains appellent "la surdouance de l'adulte". Mais que veut dire : avoir un haut potentiel et à qui s'adresse-t-il ?

C'est quoi au juste ?

Le terme HP, ce haut potentiel, est décliné de plusieurs manières. En effet, il existe plusieurs "types" de HP : le HPI : le haut potentiel intellectuel, le HPE : le haut potentiel émotionnel, le HPIH : le haut potentiel intellectuel hypersensible. 

Les HPI :

Etre HPI ou "surdoué" n'est ni une supériorité intellectuelle ni une pathologie physique, mais une particularité neurologique, cognitive et émotionnelle importante. On parlait de "enfant-precoce" pour les enfants ayant des prédispositions particulières pour certaines choses. Le terme de HPI correspondrait plus à l'adulte qu'à l'enfant. Bien que encore sujet à discussions et controverses, c'est le nouveau terme donné aux adultes dits "surdoués". 

Les HPE :

L'hypersensibilité est l'une des caractéristiques des enfants et adultes possédant un haut potentiel. Elle peut se définir comme une réactivité accrue aux stimuli émotionnels, qu'il s'agisse de ses propres émotions ou de celles des autres. Ce n'est pas une maladie mais un trait de caractère qui apparaît dès l’enfance. Une personne sur cinq serait concernée. Elles se sentent souvent en décalage avec les autres jusqu'à se croire anormales. Leurs émotions sont souvent exacerbées, parfois hors de contrôle et les sensations qu'elles perçoivent peuvent perturber leur équilibre. De part l'anxiété que cela génère, elles sont sujet aux excès en tout genre et sont très sensibles au regard des autres.

Les HPIH :

A ce stade, on aura compris que ce cas de figure cumule à la fois le haut potentiel intellectuel (HPI) associé à une hypersensibilité accrue.

Hypersensibilité et Hyperémotivité : 

La nuance peut échapper à la majorité d'entre nous. Ceci dit, il existe une différence notable entre les deux. La première chose à souligner est que l'hypersensibilité n'est pas liée systématiquement au féminin. Un certain pourcentage d'hommes sont non seulement sensibles mais également dans une hypersensibilité qui peut amener une hyperémotivité et vice-versa. En effet, l'hyperémotivité correspond à un trop plein d'émotions et la personne hypersensible a tellement d'émotions - refoulées - qu'elle ne sait comment retrouver un équilibre. 

L'hyperémotivité correspond à des émotions intenses qui ont été refoulées durant l'enfance. Lorsqu'un enfant hypersensible n'a pas été reconnu ni accueilli comme tel, et qu'il a été rejeté, il a grandi et s'est construit en se jugeant sévèrement et en refoulant toutes ses émotions ne sachant comment les gérer. Celles-ci l'ont fait entrer dans un état de confusions émotionnelles en devenant un adulte hyperémotif. La plupart des adultes actuels n'ont pas été élevés dans des familles qui savaient accueillir ses émotions, ce qui a pour conséquence une majorité d'adultes hyperémotifs ou hyper-rationnels. Et tant qu'ils restent dans leur émotivité, l'hypersensibilité ne peut se révéler, puisqu'elle n'a pas - encore - été "ajustée".

L'hypersensibilité est la capacité à ressentir les choses de façon juste, sans ces émotions du passé qui viennent perturber cette sensibilité. L'hypersensible possède de nombreux côtés positifs comme par exemple l-intuition qui est souvent très développée. Ce qui permet à la personne intuitive de détectée lors d'une rencontre si l'autre ment, s'il essaye de manipuler, s'il est hypocrite ou si ce n'est pas la bonne direction à prendre s'il offre un projet quelconque. L'hypersensible possède également d'autres dons tels que celui de clair-voyance, clair-audience, clair-ressenti ou clair-connaissance. Une personne sur cinq serait hypersensible.

L'hypersensible doit donc équilibrer ses émotions avec le monde de la matière en travaillant l'ancrage par exemple. Il doit non seulement accueillir ses émotions, les transcender mais également s'occuper de son corps physique. L'équilibre entre le corps et l'émotionnel se crée alors et les peurs sont effacées pour enfin rentrer dans l'espace du coeur.

Le Haut Potentiel des flammes jumelles :

Les Haut potentiels (HPI et HPE) seraient liés à la relation de couple des flammes jumelles : les FJ. Ces couples que l'on nomment couples "sacrés" ou "couples divins" qui s'incarneraient, en premier lieu et avant tout autre chose, pour effectuer un travail spirituel personnel. Spirituellement parlant, les FJ seraient le fruit de la séparation d'une seule et même âme, incarnée dans deux corps différents. L'un possédant l'essence masculine et l'autre l'essence féminine, comme dans le symbole du Tao (yin-et-yang). Les deux étant opposés mais complémentaires avec la même vibration énergétique, qui s'attirent comme deux aimants.

Comme le spécifie Josée Brissette, une des spécialistes des FJ dans la relation d'aide, lorsqu'il y a reconnexion entre les flammes jumelles, la féminine se retrouve dans une hyperémotivité exacerbée et ce même si elle semble maîtriser ses émotions. Cela lui permet d'entrer au coeur de ses blessures afin de les transmuter et d'enclencher le processus de guérison. De ce fait, son hyperémotivité se transforme progressivement en hypersensibilité, dans cette "justesse" qui permet l'apaisement des émotions, du mental et du corps. Par effet miroir, le masculin se verra transformé également puisqu'ils ne forment qu'une seule et même énergie.

Même si tout le monde n'a pas sa Fj dans cette vie ci (ou ne l'a pas encore rencontrée), le travail individuel et personnel reste à faire au niveau émotionnel pour chacun d'entre nous que l'on soit un haut potentiel ou non, flammes jumelles ou pas. L'équilibre entre l'émotionnel et le corps physique est capital afin d'être plus dans son coeur que dans son mental.

En résumé :

La définition d'un HPI la plus répandue est celle fondée sur le QI : un individu est surdoué si son QI dépasse 130. Cependant, le QI n'est pas une référence suffisante pour classer un individu dans une catégorie s'il n'est pas accompagné d'un bilan psychologique complet effectué par un professionnel compétent.

Avoir un haut potentiel peut être un avantage sur bien des points mais aussi une difficulté en soi. Il faut avant tout comprendre et reconnaître que l'on est hypersensible. Ensuite il faut apprendre à gérer ses emotions et ne pas les refouler : elles restent un indicateur que quelque chose ne va pas. Certains s'occupent de leurs émotions mais négligent leur corps physique. L'équilibre ne peut se faire l'un sans l'autre. Même s'il y a des bons côtés à l'hypersensibilité, tant que l'on reste dans l'hyperémotivité, on reste dans le doute, dans le manque de confiance-en-soi et dans beaucoup de peurs également. Il reste à faire un travail en soi qui demande une certaine exigence.

Utiliser les outils qui favorisent la gestion des émotions comme les-fleurs-de-bach, la méditation, l'expression artistique, etc.

Enfin, il est important d'apprendre à se protéger des situations ou des personnes qui ne vous conviennent pas.

 

 Bien à vous ...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 12 Janvier 2022

Bonjour à tous,

Nous sommes nombreux à savoir qu'il existe deux termes différents pour nommer les émotions que l'on ressent : émotions et sentiments. Une nuance existe pourtant entre les deux et malgré les similitudes, ces mots désignent des concepts un peu différents.

Émotion : 

Une émotion est une réaction physiologique qui ne dure que 3 ou 4 minutes. Elle permet au corps de répondre de façon adaptée à un stimulus de l'environnement : le corps se mobilise énergétiquement pour agir ou fuir. Elle est donc une réaction passagère, une énergie qui vibre très vite et qui s'accompagne de divers maux visibles tels que tremblements, transpiration, contractions, rougeur, pâleur, évanouissement, etc. Une émotion est une pure réaction du corps. C'est une réponse adaptée et justifiée face à un événement extérieur : la peur en cas de danger, la colère face à l'irrespect, la joie face à un événement heureux, même si notre environnement ne nous permet pas toujours de l'exprimer librement ! Inhiber une émotion revient donc à censurer une réponse qui était pourtant adéquate. Cela peut devenir problématique si on les garde en soi et se transformer en poison. Elle reste un message important qui nous informe que nous devons agir ici et maintenant. Une émotion ne se vit que dans le moment présent bien qu'elle trouve écho dans nos expériences passées. Il existe 7 émotions de base : la joie, la tristesse, la colère, la peur, la surprise, le dégoût et la honte.

Sentiment :

Si les émotions sont une pure réaction physiologique, les sentiments eux, sont une construction mentale. Il s'agit d'un état affectif d'ordre psychologique, même si un sentiment peut être le prolongement d'une émotion : l'angoisse par rapport à la peur, la déception par rapport à la tristesse… Un sentiment peut donc être la combinaison de diverses émotions refoulées. Les émotions de colère et de peur qui n'ont pu - pour diverses raisons - être exprimées, risquent de se retourner contre leur auteur sous forme d'un sentiment de culpabilité. Le sentiment se renforce quand il est ressassé. Ils peuvent donc perdurer des années lorsqu'ils sont entretenus et provoquer des maux et des malaises. Le sentiment est silencieux car il est bien souvent ancré depuis notre enfance. Il est lié au passé et est très subjectif. Quand il est chargé en vibrations négatives, le sentiment peut faire souffrir durablement.

"Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime. Tout ce qui est imprimé cherche à s'exprimer".

En d'autres termes, trois différences entre émotions et sentiments :

Leur origine : une émotion trouve son origine dans le système limbique (partie primitive du cerveau), le sentiment appartient au lobe frontal (la pensée abstraite). Les émotions proviennent du système nerveux des réponses rapides sympathique et parasympathique. Les sentiments viennent de l'interprétation cérébrale que nous faisons des événements et des sensations.

La rapidité avec laquelle elles apparaissent et changent : les émotions sont immédiates et sont le système d'alarme et de survie de l'organisme. Pour avoir un sentiment, il est nécessaire de penser à ce qu'il s'est passé (évaluer l'émotion) et de réfléchir à la façon dont nous nous sommes comportés. C'est ainsi que nous commençons à élaborer sur le plan psychologique. La différence principale est que le sentiment se développe petit à petit car il est ce qu'il "reste" de l'émotion. Il peut se modifier et être présent pendant des jours, des semaines, des mois et même des années.

L'intensité : les émotions sont très puissantes tandis que les sentiments sont plus "doux". Les émotions sont si intenses qu'elles poussent toujours à agir ou à cesser de le faire. Par exemple, la tristesse pousse à s'éloigner des autres, à s'isoler et à se connecter à la souffrance que l'on ressent. Les sentiments sont plus variés et lents. Ils invitent à réfléchir à la meilleure chose à faire pour cesser un mal-être existant.

Dans les deux cas, l'émotion ou le sentiment ressenti devra être accueilli, reconnu et traité afin d'avoir une meilleure santé psychologique.

La peur dysfonctionnelle :

La peur est normalement tournée vers le futur immédiat, pour nous prévenir d'un danger. Lorsqu'elle est rattachée à un événement passé, c'est une peur dysfonctionnelle qui devient alors anxiété, angoisse, dépression, phobie, etc. 

L'anxiété est toujours fondée sur la peur de ne pas être aimé. Au départ, de ses parents, de perdre leur affection. Pour ne pas perdre cet amour, l'enfant essaye d'être ce qu'ils attendent de lui. Il se construit ainsi une personnalité, un faux moi, qui masque sa vraie identité. Par la suite, tout ce qui semblera remettre en cause ce faux moi, et qui signifierait qu'il risquerait de perdre l'amour de ses proches, provoquera de l'anxiété. Elle représente la peur de ne pas être ce que mes parents attendaient de moi et ce que mon entourage attend de moi.

L'anxiété est donc la peur que l'on ressent mais qu'on ne sait pas bien identifier. Elle semble porter sur un objet présent, mais celui-ci n'est que le ré activateur d'une peur passée qui n'est pas consciente. La réaction face au vide en montagne, face à un danger réel est bien de la peur tandis que la peur permanente de la possibilité de perdre son emploi n'est que de l'anxiété.

La colère dysfonctionnelle

La colère est une émotion vitale, mais seulement quand elle est réellement rattachée à un événement présent. Lorsqu'elle est de fait, rattachée à un événement ancien, lorsqu'il s'agit d'une ancienne colère refoulée qui ressurgit sur une cible présente, c'est une colère dysfonctionnelle. Quelqu'un qui est coléreux en permanence est quelqu'un qui n'a pas reçu l'amour inconditionnel lorsqu'il était enfant dont il avait tant besoin. Quelqu'un qui a subi la violence, physique ou morale (silence, absence de regard, absence de geste d'affection, dévalorisation), quelqu'un dont les émotions ont été réprimées. Celui qui a des accès de colères quotidiens, irraisonnés, disproportionnés est très probablement victime d'un passé qui se rejoue dans le présent.

S'il arrive fréquemment de confondre une émotion avec un sentiment, il est cependant important de connaître les différences car la façon de les gérer diffère et les besoins qu'ils génèrent ne sont pas les mêmes. L'objectif étant de savoir les différencier pour atteindre une plus grande intelligence émotionnelle, être plus réflexif et éviter d'avoir des remords ainsi il nous sera plus facile de les modifier.

L'intelligence émotionnelle :

Elle peut être mise en œuvre de plusieurs manières. Même si ces deux mots semblent contradictoires (intelligence : cerveau gauche, émotion : cerveau droit), ces deux mots associés ont une réelle signification à laquelle on peut accorder une grande importance. Comment faire ?

Tout simplement car tout est si simple lorsque l'on a les infos : il suffira ensuite de passer à l'action. Trois étapes pour cela : reconnaître, évaluer et exprimer ses émotions, être capable de les réguler (maîtrise), et savoir les utiliser. Ces étapes favorisent un épanouissement personnel. Pour cela, la conscience de soi est une étape primordiale selon Daniel Goleman. Une observation et une réelle écoute de soi permet de comprendre nos réactions dans telles ou telles situations.

La façon naturelle de se libérer d'une émotion est de l'exprimer pleinement en l'accueillant et en se laissant traverser par cette décharge d'énergie sans se crisper sur elle. Si la décharge ne peut avoir lieu pour une raison quelconque, l'émotion est refoulée dans le corps qui reste en tension. 

Enfin, l'intelligence émotionnelle permet également de faire un travail ou une œuvre artistique comme peindre ou écrire une chanson par exemple. Ainsi, le cerveau droit est en action pour les émotions ressenties en collaboration étroite avec le cerveau gauche (mental) qui intellectualise afin que la chanson soit écrite.

Les fleurs de Bach :

Une aide précieuse que sont les fleurs-de-bach. Elles aident à gérer les émotions au quotidien et à se sentir en harmonie avec soi-même. A chaque émotion sa fleur correspondante. Et pour connaître celle qu'il convient d'adopter, il est important d'identifier l'état émotionnel que l'on souhaite améliorer. Elles sont censées apaiser, rééquilibrer les émotions et nous permettent d'accueillir plus sereinement les événements stressants de la vie quotidienne. Les propriétés des fleurs agissent sur les diverses émotions en douceur et sans effets secondaires . Voir aussi comment-gerer-les-emotions.

En résumé : 

Les émotions sont des réactions spontanées à une situation qui peuvent entraîner des manifestations physiques mais qui durent peu de temps. Les sentiments pour leur part représentent un état affectif plus durable qui évolue avec le temps. Tout en étant différents, ils sont étroitement liés. Les sentiments font vivre toutes sortes d'émotions et les émotions génèrent des sentiments.

La façon naturelle de se libérer d'une émotion est de l'exprimer (et non la nier) pleinement en l'accueillant et en se laissant traverser par cette décharge d'énergie sans se crisper sur elle. Si la décharge ne peut avoir lieu pour une raison quelconque, l'émotion est refoulée dans le corps qui reste en tension. 

L'émotion demande à être canalisée afin d'être utilisée à bon escient. Etant une énergie, elle peut être utilisée pour développer la creativite, en alimentant le corps en émotions positives par exemple.

 

Bien à vous 

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 11 Janvier 2022

Je crois qu'est plus courageux celui qui vainc ses peurs que celui qui vainc ses ennemis, car la plus grande victoire est celle que l'on remporte sur nous-mêmes.

Aristote

Bonjour à tous,

La peur est souvent une réaction positive d'un danger à éviter ou à combattre. Les peurs et les phobies sont aussi des stress que vous pouvez rencontrer dans la vie. Il existe une légère nuance entre les deux : la peur est un état émotionnel occasionnel dans la perspective d'une épreuve inconfortable ou déclenchée par un événement. Si la peur est répétitive ou irrationnelle, elle peut entraîner un handicap dans la vie quotidienne ou sociale, qui peut se transformer en une phobie.

C'est quoi la peur ?

C'est une emotion essentielle ayant un rôle et une fonction. Elle se déclenche comme un signal pour nous prévenir d'un danger. Cela se passe au niveau du cerveau reptilien qui est un cerveau rapide, réflexe, nécessaire à l'instinct de survie. Le cerveau limbique, quant à lui, est le siège des emotions (suite) et de la mémoire émotionnelle. C'est à ce niveau que certaines peurs telles que la peur de l'échec, la peur du bonheur, d'être jugé, critiqué, humilié, ou la peur d'avoir peur entrent en jeu.

La peur paralysante :

Une chose est sûre, la peur peut être inconfortable et paralysante. Cependant, vouloir l'éliminer serait un risque insensé qui affecterait directement notre équilibre. Les personnes courageuses ne l'efface pas de leur esprit, la peur reste présente. Il suffit pour ces gens audacieux de savoir l'accepter et la gérer. C'est une émotion saine, très bénéfique pour l'être humain tant qu'il garde un certain contrôle sur elle. Cependant, les choses peuvent radicalement changer lorsqu'elle déclenche toute une série de tourmentes chimiques et de changements physiologiques dans l'organisme. C'est ainsi qu'elle donne lieu au stress le plus paralysant, aux crises de panique et à cette "prison" émotionnelle qui poussent à rester soumis à une série de processus.

La peur pathologique :

C'est la dimension la plus fatigante pour un individu. Celle qui représente les troubles irrationnels tels que l'anxiété généralisée, l'angoisse, les phobies, l'hypocondrie, les troubles obsessionnels compulsifs, etc. Cette peur vient du mental et de sa capacité à voir les choses, pouvant amener à la perte de contrôle et la perte de qualité de vie.

Les peurs fondamentales :

Estimez vos peurs pour mieux identifier celles qui freinent votre élan.

La peur de la mort : peur de perdre des êtres chers mais également peur de sa propre mort.

La peur de manquer : d'argent, de nourriture, de temps...

La peur de guérir : les bénéfices secondaires de la maladie sont à prendre en compte dans toutes les pathologies.

La peur du changement : représente la peur de l'inconnu. Mécanisme de défense protégeant les acquis.

Les 5-blessures de naissances : sont les peurs d'abandon, du rejet, trahison, injustice et humiliation. Elles sont à travailler au même titre que les peurs fondamentales.

Comment dépasser nos plus grandes peurs ?

A notre époque, les peurs qui accompagnent un certain nombre de personnes cohabitent dans leur mental et ne correspondent pas à des prédateurs externes mais plutôt à des ombres internes difficiles à fuir. Pourtant, y arriver est une obligation existentielle.

Plus l'objet de la peur sera clairement identifié, plus il sera facile de mettre en place des moyens nécessaires pour la faire diminuer ou mieux : disparaître.

- Comprenez qu'il est normal d'avoir peur. Personne n'échappe à l'expérience de la peur.

- Connaissez vos peurs, comprenez qu'elles sont là. Plus vous les comprenez et plus cela vous aidera.

- Identifiez vos croyances-limitantes car les peurs sont basées sur des croyances erronées.

- Sachez reconnaître les moments où elles vous accablent et comprenez ses symptômes. Quels sont les éléments déclencheurs ?

- Essayer l'exposition graduelle en vous confrontant peu à peu à cette peur (image si peur des chiens, pensées positives : les chiens sont gentils...). Puis entrez en contact avec votre peur (présence du chien).

- Vous n'êtes pas votre peur : identifiez vos craintes, nommez-les mais la désidentification reste la base. Ne vous identifiez pas à cette peur car vous n'êtes pas elle. Elle ne fait que vous traverser. Reliez là éventuellement à un événement vécu traumatisant afin de l'identifier plus facilement.

- Remettez en question le pouvoir que ces peurs ont sur vous et votre comportement.

- Cesser de l'alimenter. Utilisez votre imagination pour vous calmer, pas pour vous faire peur.

- Imaginez le résultat que vous aimeriez obtenir et remplissez vous du sentiment de réussite.

- Encouragez vous, parlez vous comme une tierce personne pourrait le faire.

- Faites de vos peurs une source de fascination. Ces mêmes peurs provoquent aussi de l'excitation et/ou de la passion.

- Exploitez le pouvoir de vos peurs. La peur est souvent ressentie avant l'événement mais plus pendant. Elle améliore la précision des sens et aide à faire passer efficacement le moment présent de l'événement.

- N'oubliez pas les techniques de relaxation et de respiration pour aider à surmonter le-stress que les situations provoquent.

- Consultez un conseiller si vos peurs prennent le contrôle.

- Plutôt que de chercher les racines de vos peurs dans votre enfance ou dans vos expériences, prenez votre courage à deux mains et agissez dans la réalité, pour expérimenter un vécu inédit.

- Sortez de votre zone de confort. Relevez les défis ! Si votre plus grande peur est de parler en public, ne le prenez pas comme de la peur mais comme un défi à relever.

En résumé :

Dans le domaine de la Naturopathie et de l'accompagnement des consultants, la prise en charge émotionnelle est incontournable. C'est pourquoi les émotions et les peurs toutes confondues doivent être évaluées, identifiées et dépassées afin d'obtenir une meilleure qualité de vie.

Nous sommes tous un peu victimes de la-peur d'une façon ou d'une autre, sans même nous en rendre compte car elle se manifeste sous différentes formes : perfectionnisme, addiction au travail, agitation mentale, besoin de contrôle, etc. Lorsqu'on ressent une émotion telle que la peur, on peut chercher à éviter la situation redoutée. Le but ici n'est pas de combattre la peur rencontrée mais de s'en faire une alliée. Et encore moins de l'enfouir mais bien de l'identifier, l'accepter et s'en servir comme une énergie afin d'affronter la situation tant redoutée en en faisant un défi. 

 

Bien à vous...

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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Publié le 10 Janvier 2022

Bonjour à tous,

La peur est une emotions ressentie généralement en présence ou la perspective d'un danger ou d'une menace imminente. Elle est une conséquence de l'analyse du danger et permet au sujet de le fuir ou de le combattre.

Pour la plupart des gens, ces peurs peuvent être surmontées et gagner ainsi en courage, ce qui constitue un processus de maturation de l'esprit et de l'individu qui continue durant toute sa vie. C'est pourquoi les enfants sont plus craintifs que les adultes. 

Elle est donc une émotion normale, au même titre que la joie et la tristesse. Son rôle est de nous protéger en plaçant nos sens en alerte lors d'un stimuli extérieur tel qu'un bruit, une image ou autre.

Les manifestations de la peur peuvent être très différentes suivant les personnes. Elle peut stimuler, comme le trac qu'éprouve l'artiste mais elle peut aussi paralyser et inhiber toute réaction. Elle se présente aussi sous différentes formes : obsessions, perfectionnisme, addiction au travail, angoisse, besoin de contrôle, agitation mentale. Nous sommes tous victimes de la peur d'une façon ou d'une autre, sans même nous en rendre compte. 

La peur de mourir et de manquer d'argent sont les deux plus grandes peurs de l'être humain. Elle commence dès l'enfance et se poursuit à l'âge adulte. Par exemple, la peur de fréquenter un établissement scolaire peut engendrer plus tard la crainte de ne pas réussir, ou de ne pas être à la hauteur, de perdre des clients ou de ne pas faire son chiffre d'affaires.

La peur n'est qu'un état, un processus dont les contenus sont inconsistants et dont il faut se libérer. La peur est quelque chose que l'on perpétue par habitude, à cause d'émotions anciennes qui s'expriment dans le présent, dans de nouvelles mises en scènes. Même s'il n'y a plus aucunes raisons qu'elles soient présentes, les réflexes sont là qui déterminent les réactions pour rejouer les mêmes émotions encore et encore. 

Tant qu'on ne l'aura pas démasquée et remplacée par un processus de confiance, d'optimisme délibéré, la peur trouvera toujours de nouveaux sujets d'inquiétude, pour se justifier via l'ego. C'est un processus qui s'auto-alimente, tant qu'on ne le débranche pas ! Cette démarche d'introspection est généralement longue, subtile et parfois douloureuse.

L'évolution personnelle :

Les peurs présentent un obstacle à l'amour véritable. L'évolution personnelle et le cheminement oblige inévitablement à dépasser les peurs les plus profondes. Elles sont à l'opposé de l'amour. Si elles n'ont pas été vécues et accueillies pleinement, il n'y a pas d'amour véritable. Plus elles sont libérées, plus nous vibrons une énergie d'amour élevée. Parfois, ce sont les événements de la vie qui nous confrontent à nos peurs, à d'autres moments, ce sera à nous de sortir de sa zone de confort.

Accueillir, traiter et éliminer ses peurs fait partie intégrante du développement personnel. Il est fondamental de toujours être en mouvement dans le cheminement personnel. Cela signifie de faire des démarches pour transformer ses blessures en étant à l'écoute des poussées de son ame. En dépassant ses peurs, l'individu pourra ainsi se construire dans sa mission d'âme pour s'incarner pleinement dans la matière. Il devra concrètement passer à l'action pour mettre en place des projets en fonction de ses dons et talents naturels (la-creativite). Le passage à l'action afin de faire remonter les peurs et les résistances, de les dépasser est nécessaire à la transformation de l'énergie qui nous habite.

En résumé :

Comme le dit Josée Brissette dans le parcours des flammes Jumelles : "Dépasser ses peurs reste un exercice fondamental dans le cheminement personnel. Nous sommes souvent très bien dans notre zone de confort et cela peut devenir un piège de tomber dans l'immobilisme et ne plus continuer à nous libérer pour devenir qui nous sommes vraiment. Je vous encourage à sortir de votre zone de confort, à passer à l'action, afin de faire remonter les peurs inconscientes, pour pouvoir les accueillir et les transcender dans le mouvement naturel de la vie."

 

Bien à vous

 

 

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Rédigé par Myriam

Publié dans #Emotionnel

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